Pulse • Festival Ensemble(s)

Concert

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Informations pratiques

Vendredi 11 septembre 
21h30 (ouverture des portes à 19h30) 

Pan Piper
2-4, impasse Lamier, 75011, Paris  

Tarifs
– Réduit (-26 ans / demandeurs d’emploi) 
Prévente : 12€ | Guichet : 14€
– Plein 
Prévente : 15€ | Guichet : 17€

Renseignements et réservations
contact@festivalensembles.com
Billetterie en ligne : Digitick

PULSE

 

STEVE REICH
New York Counterpoint   (1985)
pour clarinette et électronique 

LARA MORCIANO
Embedding Tangles   (2013)
pour flûte et électronique

PIERRE JODLOWSKI
Série Rose   (2012)
pour piano et électronique

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Solistes de l’ensemble Court-circuit
Anne Cartel, flûte 
Pierre Dutrieu, clarinette
Jean-Marie Cottet, piano        

José Miguel Fernandez, informatique musicale (RIM)
Pierre Jodlowski, Baptiste Chouquet, électronique

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Dans le cadre du festival Ensemble(s) 2020
festivalensembles.com

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Dans la même soirée 
– Ensemble Cairn (20h00)
Pièces de Noriko Baba, Philippe Leroux, Sonja Mutic et Ofer Pelz
– Blablas et circonférences de Clément Lebrun 

 

 

Trois pièces pour instrument solo et électronique qui, malgré leurs évidentes différences, partagent un point commun : l’énergie rythmique.

Dans New York Counterpoint de Reich, l’électronique se résume à un enregistrement réalisé par le clarinettiste des différents patterns rythmiques en phase ou déphasage avec la partie soliste jouée en direct. Lara Morciano, au contraire, propose un traitement du soliste en temps réel. Certaines caractéristiques sonores de l’instrument sont amplifiées : composantes percussives, soufflées, bruitées… et donnent lieu à une prolifération de matériaux similaires, créant ainsi un dialogue à la fois éthéré et rythmique. Enfin, dans Série rose de Jodlowski, l’électronique s’avère différente encore puisqu’elle est composée de sons fixés hétérogènes – avec des séquences parfois volontairement groove – qui servent la dramaturgie. La pièce, inspirée par le sexe, la pornographie et les conversations amoureuses, nous emmène sur un chemin chaotique interrompu par des pauses ambigument colorées. Nous nous accrochons à un pouls puis nous nous perdons dans des conversations imaginaires, entourés de voix et de respirations, de gémissements sensuels. Il n’y a pas d’autre couleur que ce terrible rose, une image indestructible et terrible de l’amour.

 


Jeux

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CRR de Paris

 

Daniel D’Adamo, Coeli et Terraefor saxophone and double bass
Nicolas Tzortzis
, … à une main. Hommage à Roger Federer for ensemble (world premiere)
Martino Traversa, Rimane l’eco for ensemble
Georg Friedrich Haas
, Ausweg for ensemble

 

Musicians of Court-circuit
Saxophone : Vincent David          
Violin : Alexandra Greffin-Klein                     
Double bass : Didier Meu           
Conductor : Pierre-André Valade

The surprising instrumental alloy of the double bass and bass saxophone is what Daniel D’Adamo’s Coeli and Terrae relies on. These two instruments become, one after the other, main character and shadow. Their interweaving by rhythms and play modes leads to perceive a “meta-instrument”. In return, homorythmic pursuit and cut leads to moments where tones lose temporarily their identity. The idea of interweaving also affects the form. We will take side roads, backtrack, lose the steps that had guided us to find them again.

“À une main” (one-handedly) by Nicolas Tzortzis is conceived as a short film inspired by a grand slam Roger Federer won. The solo violin confronts consecutively seven opponents, from solo to quintet. It is accompanied and amplified by an instrument from the ensemble, as if electronic process affected its tone. The fourth layer represents what occurs “around”. Played by the instruments that do not take part to the game, rather noisist or neutral, the latter serves a background to the main action

Rimane l’eco By Martino Traversa explores a particular aspect of complexity with an increasing sonorous density, allowed with a process of successive accumulation, and its quick dispersal. The writing is sustained by a precise structural order, gradually complexifying until reaching a certain point of accumulation from which the perceptive image of echo takes form.  

The second word of Georg Friedrich Haas work title, weg (path, gone), leaves space to interpretation, and the ambiguity is intention, either “exit door”, “stop, leave” or yet something else. The piece is also a game for ambiguity : it begins with enigmatic piano trills the strings comment, then, by the other instruments according to a fluctuating and hesitating path, with microtonal and the composers typical slippery stretches. The development is uncertain, with sudden curls, and unachieved wanders.

 

 

Information

Conservatoire à Rayonnement Régional, 14 rue de Madrid, 75008 Paris
Prices : free entrance
Information and reservations : Ensemble Court-circuit, production@court-circuit.fr, 06 89 16 64 00


PRODUCTION

Ensemble Court-circuit · Festival Ensemble(s)

 

 

Concert en partenariat avec éOle – Studio de création musicale


 

 

 

Festival Ensemble(s) – 11, 12, 13 septembre | Pan Piper

Première édition d’Ensemble(s), festival dédié à la création musicale pensé, créé et réalisé par les ensembles 2e2m, Cairn, Court-circuit, Multilatérale, Sillages.

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